Avoir pris conscience que mes études avaient magnifié jusqu'au sublime, mes prédispositions au sauveteur, (voir les articles de Lyne Forrest "le triangle du drame", rangés dans "Bibliothèque") m'a fait en entreprendre la démolition. J'ai immédiatement réalisé pourquoi mes relations avec mon agenda étaient si ambivalentes. A la fois je me

félicite d'un agenda rempli, à la fois je ressens un malaise quand je le regarde. Ça y est, j'ai compris, mon agenda pèse de tous ces gens qu'inconsciemment je me sens en charge de porter et dont je m'impose de résoudre les problèmes...

supersauveteursDonc j'ai entamé un taping d'urgence :
« Même si je me sens le super sauveteur, je m'accepte... » (3 fois).

Et à chaque point, j'ai associé une personne : « Je me sens le super sauveteur de... ». Toute ma famille y est passée, puis les amis, les voisins, les patients évidement, les hommes politiques, la planète...

J'y ai bien consacré une demi heure, à nommer tout le monde, chaque fois que ma vibration intérieure me confirmait le poids de mon devoir de sauveteur.

A un moment, surprise, ce qui a remonté a été « Ah non, pas sauveteur, je ne veux surtout pas être le sauveteur... de... » et j'ai refait en gros et en plus rapide la même liste. Jusqu'au ouf final : mon agenda est redevenu un simple agenda, et si ce n'est pas le cas, je recommencerai.


Ne vous y trompez pas, la guérison n'est pas psychologique, elle est vibratoire. C'est la vibration qui guérit

 

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