Petit malaise...Les examens médicaux ont conclu qu'on ne savait pas ce que j'avais mais que je n'avais rien de grave. Comme je n'avais pas faim et que le malaise signait un déséquilibre, j'ai naturellement attendu pour me réalimenter. 

Quand le 3ème jour je me suis sentie un peu

mal, j'ai diagnostiqué la prévisible période dite de l'acidose, et celle ci passée, j'ai attendu le retour de la faim. En fait à aucun moment je n'ai eu faim, par contre j'ai beaucoup pensé à la nourriture, oui alors !

le jeune 2Le fait de me nourrir de moi même et de mes lipides, est je suppose la raison de ce goût de crotte que j'avais dans la bouche le matin, à moins que ce ne soit le fait de ne pas boire la nuit. Je n'ai pas été fatiguée et j'ai même continué à travailler à mi temps, sans anomalie notable.

Le plus dur finalement fut la reprise de l'alimentation. Dur et délicieux. J'ai attendu d'avoir faim pour reprendre une fraise, puis une autre, et cette faim a réapparu au début de mon 6ème jour de jeûne. Un faim facile, naturelle, mon estomac faisait des glouglous sympathiques.Dur, parce l'estomac signale très vite ses limites et qu'il fait un nœud, même après une fraise. Délicieux car j'ai croqué la fraise en petits morceaux et savouré son jus, sa consistance, son parfum comme jamais auparavant.

Depuis, je mange moins, je suis en forme, et mon transit s'est régularisé, disparue la tendance à la constipation. Je confirme l'aspect antalgique du jeûne. Mon corps est incroyablement plus confortable et agréable. Je me sens bien. Mes articulations sont souples. Je suis plutôt euphorique et j'ai gagné en confiance en mes propres ressources.

 
J'ai trouvé un article qui résume très bien les principes d'un jeûne et de la reprise alimentaire. Voici le lien

Le jeûne : mode d'emploi

 

Liens et suggestions

Here's come the TEST

Here's comes the form. PENDANT