Parce qu'il y a eu un petit retard de trop, oh ! Pas grand chose, 24 heures, mais 24 heures de plus, j'ai senti un ressort s'étirer en moi. Et sursaute cette zone en moi qui est dans le coma. Cette zone venait tout à coup de s'agrandir parce qu'une petite goutte faisait déborder

le vase, cette zone connue et identifiée, que son extension subite rendait palpable : « c'est trop dur, les obstacles sont trop nombreux, ça n'en finit pas, je n'en peux plus...
fatigue chonique Comment font les autres, ceux qui sont vraiment en difficulté, parce que moi, la, je n'en peut plus, c'est trop ! Ca suffit.  » Voilà ce que disait cette part agrandie de moi, ce matin, cette part agrandie par ce tout petit retard.

 

Cette zone comateuse en moi, ne souffre pas, sauf quand je la réveille, elle pleure. Probablement que
quelle émotion s agit ilquand je l'ai installé, ce coma artificiel a été la solution à des difficultés répétées qui à l'époque m'ont semblé insurmontables. Du fond de sa léthargie elle est indifférente à toutes les souffrances du passé, de tous les passés, de toutes les difficultés, les violences, les horreurs. Elle ne souffre plus, n'a pas de plaisir non plus, mais elle est pénarde, comme dans la chanson.

Et surgissait en même temps, une autre part, celle qui fouette, celle qui obéit aux exigences physiologiques de la survie « Allez, debout, il faut vivre et pour cela, travailler, manger, sourire... » Mais qui aussi se soucie que la vie soit le plus agréable possible : »Tu as tiré des cartes et elles ne sont pas si mauvaises, loin de là, tu n 'as pas vraiment d'autre choix que de jouer au mieux ta partie, si tu baisses les bras, ce sera pire. »

Pas étonnant que je sois fatiguée, puisque dans les fonds de mon semi conscient , en permanence, mon instinct de survie fouette la part comateuse de moi.

Et déboule un océan de compassion, pour ceux qui expérimentent la guerre, la faim, le froid, les violences sexuelles... Comment font ils ? Comment font elles ?

Et cette petite goutte dans mon vase déjà plein, ce petit retard, déborde sur un autre vase, celui de tous les efforts que je fais pour les autres : les poids morts et les castrateurs. « Je ne peux plus » et c'est la part de moi qui fouettait qui parle. « Je ne peux plus et je ne veux plus essayer de pouvoir ! « . Comme de se débarrasser d'un fardeau : ne plus accepter cette dévalorisation constante qui plombent les leçons que je prends avec X, et laisser un certain nombre d'autres se débrouiller.

Objectif : dégager un peu d'énergie pour réveiller en douceur la part qui dort, et consoler avec Amour celle qui fouette.fatigue chronique3

On verra ce qui sortira du chapeau.

En avant pour de nouvelles aventures !

 

...à suivre dans l'article: "Fatigue chronique et EFT".

 

 

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