Je cite : « Beaucoup de gens, beaucoup de malades pensent souvent aux torts qu'on leur a fait.Ils ressassent ces « injustices ». Ils en veulent à celui qui leur a « fait du tort » ; il y a un manque, un fait, quelque chose,une injustice, une promotion non reçue, un vol subi, une "non attention affectueuse " une

non-reconnaissance qui « taraude » la personne et la travaille, la « ronge de l'intérieur ».
Le ressentiment est lié à un concept...de non justice, d'injustice subie ; comme disent les enfants : "c'est pas juste ".
Quelque part, on a pas rendu justice aux gens ; il y a une injustice, que ce soit d'ordre familial, d'ordre conjugal ou d'ordre professionnel, parfois d'ordre national (guerres, massacres, oppressions, génocides divers). Les gens gardent un ressentiment qui les travaille et qui les mine au point de vue santé, jusqu'au cancer et à la mort quelquefois ».

le ressentimentJ'extrais ces lignes du livre d'Anne Ancelin, Schützenberger « Aie, mes aïeux » dont je ne vous ai pas encore parlé, que je vous conseille vivement de lire, et de relire. Il fait écho à un autre de mes articles « Le pardon ».

Je suis restée bloquée un certain moment sur ces lignes, stupéfaite de reconnaître que tout ce qui me gâche la vie en ce moment est lié à ce que décrit madame Schützenberger : le ressentiment. Telle personne a repoussé ma bonne volonté, telles autres se sont montré peu affectueuses, certains ne me portent pas suffisamment d'attention, et la volière que j'ai dans la tête s'agite et me saoule de ses pépiements. Je sais bien que la maladie commence ainsi mais curieusement, je n'arrivais pas à prendre le dessus. 

Et si une majorité des cancers et maladies venaient de la macération dans des idées fixes du genre : « X ne m'a pas reconnu à ma juste valeur quand... » ou « il faut que Y reconnaisse que j'ai raison et que lui a tort ». en d'autre termes, nous n'avons pas toujours dépassé le stade de la cour de récréation et des obsessions sur le thème : « je suis gentil/le » versus « les autres sont méchants/es ».

Ça y est j'ai compris. Enfin je peux lâcher.

J'ajoute à la liste de mes tourments, la rancune bien claire que je nourris envers Dieu lui même, de nous avoir mis dans ce caca, avec apparemment peu d'outils pour en sortir. Je le Lui reproche régulièrement, avec flamme. Il se contente de me sourire tendrement.

 
Si, vous aussi, le ressentiment vous blesse, vous pouvez prendre :

« WILLOW » en fleur de Bach, 2 gouttes dans un flacon de 30 cc que vous complétez d'eau, 4 gouttes de la dilution 4 à 6 fois par jour.
Si vous pratiquez l'EFT, vous pouvez taper chacune des phrases du texte de madame Schützenberger , sur un de vos points en réfléchissant aux événements précis qui s'y rapportent et aux personnes que cette lecture vous inspire.

 

 

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