C'est un flagrant délit : j'ai encore donné mon opinion à une amie qui ne me l'avait pas demandé. Je n'ai pas dit grand-chose, seulement qu'elle avait un comportement répétitif et j'ai obtenu le résultat prévisible : une tempête. A aucun moment je n'ai pensé que je le faisais pour elle. Ça a toujours été clair, je l'ai dit pour moi, car je préfère des remords aux regrets, ou si vous voulez, je préfère me questionner sur ce que j'ai fait plutôt que regretter ce que je n'ai pas fait. Je voulais ne pas me reprocher plus tard mon silence quand, dans mon imagination, je la verrai se débattre dans des problèmes que toute réflexion faite elle n'aura peut être jamais.
Bon, ce qui est fait est fait, nous traversons un grand silence et les anges passent à la queue leu leu.

occupons nous de nos oignons

Je continue de lire Byron Katie et je vous livre le verset de ce matin :
« Quand vous savez ce qui est mieux pour une autre personne, vous n'êtes pas en train de vous occuper de vos oignons.

Le résultat est souci, anxiété et peur.

Quand vous quittez mentalement le terrain de vos propres affaires, vous pensez que vous en savez plus que lui, elle ou que Dieu.

La véritable question est : "Puis je savoir ce qui est juste pour moi même ? ". Ça c'est vos oignons.»

Je sais sur quelle marche je suis, et je contemple la marche sur laquelle j'aimerais monter.
Ainsi soit il !

10 jours après nous sommes tombé dans les bras l'une de l'autre. C'est vraiment une amie.

 

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