Voila le compte rendu d'une vidéo que vous pouvez trouver sur le site de Gary Craig. M. a été diagnostiqué il y a 2 ans d'un cancer du colon grade 4. Les médecins ont dit à sa femme qu'il ne survivrait pas plus de 7 mois et que tous les traitements n'avaient comme objectif que de diminuer sa souffrance.

Sur la vidéo M. raconte son histoire : il apprend le diagnostic, il a entendu parler de l'EFT, il décide de tenter sa chance.

Au début, il tape sur les symptômes :

« Même si j'ai mal au ventre, je m'accepte complètement ».

A force de persistance, puisqu'il dit avoir tapé continuellement, les douleurs diminuent. Mais pas le cancer. Il entame un PPP ou procédure de paix personnelle et dit avoir compté 450 événements traumatisants.

Mais un d'entre eux était plus perturbant que les autres. Il a demandé au chirurgien quand, à son avis avait commencé le cancer, et les dates concordaient avec cet événement traumatique. Faire de l'EFT sur cet événement a été un grand défi car l'intensité était tellement élevée qu'il ne pouvait pas même l'évoquer.

  Il a donc entrepris, « la technique sans larme » et la "movie technique" ou « technique du film ». La « technique sans larme » consiste a évoquer la possibilité de l'événement traumatique jusqu'à faire baisser l'intensité suffisamment pour faire un film de ce qui s'est passé et de déprogrammer crescendo par crescendo la totalité des intensités du film. M. dit avoir eu besoin de 3 semaines pour évacuer l'émotion liée à cet événement.

Cet événement avait duré 3 jours mais la phase la plus intense 45 minutes.

Il a accepté le traitement classique, chimiothérapie et chirurgie car il voulait se donner plus de temps, pour traiter la cause, mais aussi parce qu'il pensait que se débarrasser de la tumeur lui demanderait trop de travail. Il voulait refuser la chimio, mais semble t'il le chirurgien la jugeait indispensable.

A ce point on peut discuter de l'influence réelle de l'EFT sur la guérison. Lui affirme qu'il est totalement sur qu'il doit sa guérison à l'EFT. Qu'au lieu de la colère et de la haine, il a accédé au pardon et à la compréhension, et qu'il se sent très heureux. Il se repasse le film régulièrement pour tester ses « zéros émotionnels ».

Que la cicatrice laissée par l'ablation de la tumeur lui cause encore des problèmes mais qu'il y travaille.

Et qu'il lui aurait fallu moins de temps s'il avait eu recours à un professionnel pour se libérer des intensités de ce trauma.

 
Quoi qu'il en soit, il est considéré comme guéri par le cancérologue alors que le pronostic était de 7 mois. Ça donne à réfléchir.

Il invite les gens à qui on diagnostique un cancer à reprendre leur pouvoir et à travailler avec leur médecin, pas seulement à lui livrer leur corps. Il a l'air très heureux, confiant et détendu... presque reconnaissant.

 

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