Voici un autre texte de Lynne Forrest. Je vous avais traduit son passionnant « Triangle du drame », que vous trouverez dans « Bibliothèque » et comme elle écrit sur son blog régulièrement des articles, en voici un que m'a trouvé mon amie Adit : « La semaine dernière, je développais l'idée que la perception de l'observateur conscient (que nous cherchons à être ) se déploie de la façon suivante :

Événements externes - Sentiments - Pensées / histoire à propos de l'événement -
réponse choisie

Maintenant, penchons-nous sur un exemple:

L'événement externe: Votre conjoint est en retard au rendez vous convenu à l'avance.

Sentiments : Des émotions surgissent comme du ressentiment, de la colère, de l'anxiété. Comme observateur vous remarquez ces émotions et vous vous rappelez que vos sentiments sont créés à partir de vos pensées. Ce rappel vous invite à regarder vers vos propres pensées, vers ce que vous vous dites et qui cause votre peine, plutôt que de vous fixer sur le manque d'empressement de votre conjoint, comme raison pour laquelle vous seriez en colère.

Histoire de l'événement : Vous entendez l'histoire que votre esprit crée automatiquement et qui produit vos émotions négatives. Plutôt que de réagir aveuglément à vos pensées négatives comme: «Il / elle me fait toujours ça." ou "Elle / il prend notre mariage pour un acquis," vous retenez votre
jugement et doutez de la validité de ces pensées douloureuses.

Réaliser que votre triste histoire à propos de votre conjoint pourrait ne pas être vraie, vous invite à arrêter de croire en votre histoire négative car croire en ces pensées négatives au sujet de votre conjoint crée une misère aveugle et un préjudice moral. Vous vous rappelez que ce sont simplement des réflexions sur la réalité et non la réalité elle-même. Croire les pensées aveuglément et y réagir négativement est un moyen méchant de vous faire plaisir. Vous prenez de la distance avec votre histoire négative, et examinez la question de près.

Réponse : Après avoir observé et questionné vos pensées, plutôt que de réagir aveuglément, vous êtes en mesure de répondre de façon plus saine à la situation. Vous trouvez quelque chose d'utile ou agréable à faire avec le temps supplémentaire qui vous est donné, décidez de faire confiance et que les choses se produisent comme elles le font pour une raison positive. Lorsque vous trouvez la raison pour laquelle votre conjoint est en retard, vous y répondez par de l'amour et la compréhension parce que vous voulez vous sentir positif à son sujet et parce que c'est le moyen le plus affectueux à vous comporter avec vous même. C'est vous en train de pratiquer l'amour de soi.

Pour développer et renforcer la perception de l'observateur, nous devons passer de notre focalisation externe à une focalisation interne. Nous arrêtons de rechercher quelque chose à blâmer à l'extérieur et à la place cherchons les pensées dans nos esprits comme étant la principale cause de notre malheur. Être concentré sur l'interne signifie que nous comprenons que à chaque fois, nous croyons que ce que nous pensons est vrai.

Une focalisation interne nous permet de comprendre que nous ne sommes jamais vraiment victimes parce que nous choisissons la façon dont nous percevons notre vie et que cette perception détermine notre état ​​émotionnel et mental.

Essayez ceci:

Chercher quelque chose dans votre vie dont vous vous sentez à la merci, que ce soit une personne ou une situation. Écrivez ce que vous vous dites sur ce qu'ils vous font et sur la façon dont cela vous fait vous sentir. Ensuite, notez comment vous réagissez à la situation quand vous croyez
ces pensées.

Maintenant, relisez sur ce que vous avez écrit et de soulignez les mots et les phrases qui impliquent qu'ils, ou elles, sont responsables de vos réactions négatives, ou de votre état ​​d'esprit négatif. C'est là que vous êtes en train de blâmer quelque chose en dehors de vous.

Travailler avec ces pensées en les réécrivant avec des phrases qui commencent avec des mots, comme " je me dis que ..."

Par exemple, "je me dis qu'il essayait de me faire du mal." Ces mots au début de la phrase vous aideront à prendre la responsabilité de ce qui est la cause de votre propre malheur.

Maintenant, écrivez la même phrase, mais cette fois ci écrivez les mots, "Je me suis blessé moi même " au début de la phrase. Par exemple," Je me suis blessé moi-même quand je me suis dit qu'il essayait de me faire du mal ".
Regardez la façon dont cela pourrait être vrai.

Notez la différence qualitative dans ces différents niveaux de percevoir. Lequel vous fait vous sentir moins comme une victime? Vous donne plus de pouvoir ? Lequel vous laisse vous sentir plus à la merci de la situation ? Quels sont les sentiments qui vont avec chaque niveau de la perception?
Lesquels préférez-vous?

Passez une bonne semaine.

Bénédictions,
Lynne »

Les travaux de Lynne Forrest se sont inspiré de BYRON KATIE
Byron Katie dans une situation identique pose les questions suivantes :
1 : Est ce que c'est vrai ? (oui ou non, et si non passer à 3).
2 : Pouvez vous absolument être sur que c'est vrai ?
3 : comment réagissez vous, qu'arrive t'il quand vous croyez en cette pensée ?
4 : Qui seriez vous sans cette pensée ?

Is it true? (Yes or no. If no, move to 3.)
2. Can you absolutely know that it's true? (Yes or no.)
3. How do you react, what happens, when you believe that thought?
4. Who would you be without the thought?

 

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